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Panier garni du 14 septembre: le Bon Samaritain

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Culte de rentrée - 13ème dimanche après la Trinité : le Bon Samaritain

Prélude à l’orgue Accueil :

La grâce et la paix vous sont données de la part de Dieu notre Père et de Jésus Christ notre Seigneur.

Bienvenue à chacune et chacun d’entre vous, et tout particulièrement à ceux qui ont repris le chemin de l’école ou du travail. Nous sommes rassemblés ce matin pour célébrer ce culte du 13ème dimanche après la Trinité dont le thème est le bon samaritain. L’histoire de cet étranger qui s’occupe du blessé, alors que le peuple de Dieu, incarné par le prêtre et le Lévite passe son chemin sans s’arrêter.

Le mot d’ordre nous dit, par la bouche du Christ : « Ce que vous avez fait au plus petit de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25/40).

 Thème du secours, de l’attention à l’autre et par extension aussi le thème de  l’accueil de l’autre et du respect devant la différence. Il est souvent bien plus facile de voir dans l’autre, celui qui n’a pas le même Dieu que moi, celui qui n’a pas la même couleur de peau, les mêmes codes sociaux, politiques, sexuels que moi, un étranger qu’il faut stigmatiser et dont il faut avoir peur. Regarde d’abord à toi, et toi que fais-tu pour celle ou celui qui ont été blessés par la vie ? C’est là la question centrale de ce dimanche.

 

 CHANT : Seigneur, nous arrivons des 4 coins de l’horizon AEC 214, 1+2

 

Louange : Exprimons notre joie de nous retrouver  ensemble, par notre louange

P : Seigneur, tu es vie.

Tu nous donnes et nous conserves la vie

A : Nous te louons !

 

P : Seigneur, tu es lumière.

Tu nous éclaires et nous réjouis par ta lumière

A : Nous te louons !

 

P : Seigneur, tu es joie.

Tu nous invites à partager ta joie

A : Nous te louons !

 

P : Seigneur, tu es espoir.

Tu traces et prépares nos sentiers

A : Nous te louons !

 

P : Seigneur, tu es amour.

Tu nous permets de vivre comme frères et sœurs dans ton amour

A : Nous te louons !

 

 

Répons: Je louerai l'Eternel AEC 151,1

 

Pénitence :

Après avoir dit merci, nous voulons maintenant nous approcher de Dieu et lui dire notre manque de communication avec Lui et ceux qui sont autour de nous, ceux qui vivent avec nous dans ce monde.

 

Toi qui nous as donné la vie pour la faire croître,

Fais que nous en usions bien.

 

Toi qui nous as donné l’amour pour le partager,

Suscite en nous la force de le faire fructifier.

 

Toi qui nous as donné la paix pour vivre dans l’amitié,

Aide-nous à devenir des artisans de paix.

 

Toi qui nous as donné la foi pour nous épanouir pleinement,

Dépose en nous le courage de te faire connaître et aimer.

 

Toi qui nous as donné ton fils Jésus pour nous délivrer,

Pardonne-nous pour le mal que nous avons fait.

 

Répons: Kumbaya my Lord (prends pitié de moi mél AEC 609)

 

Annonce de la grâce :

 

Tel un enfant qui a reconnu et confessé sa faute, Dieu nous accueille dans sa Grâce : c’est le moment de nous sentir pardonné, relevé, en 1 mot: aimé/

 

Pour moi, dit Dieu, chacun de vous est unique et différent

Chacun de vous est un trésor précieux et fragile.

Que tout ce qui vous fait mal et vous tourmente

Soit effacé et que votre marche en avant soit à nouveau possible !

 

Répons: Je passerai ma vie AEC 273, 1+2

      

 

Prière AVANT LES LECTURES

Prions : Seigneur, nous sommes réunis ce matin en ta présence.

Aide-nous à prendre conscience des liens qui nous unissent.

Ne nous laisse pas fuir en nous-mêmes, nous fermer à l'autre.

Aide-nous à nous accueillir les uns les autres.

Fais-nous sans cesse discerner ta volonté

là où nous sommes, pour la situation que nous vivons.

Rends-nous efficaces pour établir ici et maintenant

ton amour et ta paix, ta justice. Amen

LECTURES BIBLIQUES

1)   1 Jean 4, 7-12

 

Bien-aimés, aimons nous les uns les autres; car l'amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu.

Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.

L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.

Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés.

Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres.

Personne n'a jamais vu Dieu; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous.

 

Répons : Alléluia

 

2) Evangile de Luc, chap 10 ; 25-37 en version chœur chanté, présenté par les jeunes du KT

A – Nous étions assis derrière un rocher pour nous reposer...

B – Sur la route qui va de Jérusalem à Jéricho...

C – Voilà un voyageur qui arrive, d'un pas tranquille...

B – Pas très loin de nous, de nous, des bandits surgissent et l'attaquent...

C – Ils lui prennent ses vêtements...

B – Ils le frappent... ( Un temps...)

C – Ils le laissent à moitié mort...

A – On avait très peur... on n'osait pas bouger...

B – Voilà que nous entendons quelqu'un qui marche sur la route...

C – C'est un prêtre qui voyage...

A – Il va faire quelque chose pour le blessé...

B – Le prêtre voit l'homme par terre...

( Un temps )

A – Mais il passe de l'autre côté de la route et continue son chemin.

B – Plus tard, il y a aussi un lévite, un homme pieux qui voyage...

C – Il voit l'homme par terre...

( Un temps )

A – Mais il passe aussi de l'autre côté de la route et continue son chemin...

B – Il va mourir si personne ne fait rien...

C – Voilà un autre homme qui arrive... avec sa bête et ses bagages. Ce n'est pas un religieux, ni un homme pieux d'ici, c'est un étranger...

B – Un étranger ?

C – Oui : un samaritain ! On ne les aime pas beaucoup par ici...

A – Pourtant il s'arrête, son coeur est plein de pitié pour le blessé...

C – Il s'approche, il verse de l'huile et du vin sur ses blessures et il lui met des pansements. Ensuite, il le fait monter sur sa bête....

A – Ensuite, on sait qu'il l'a emmené dans une auberge et qu'il s'est occupé de lui.

B – A l'auberge, on m'a dit qu'il avait donné deux pièces d'argent et qu'il avait demandé qu'on mette sur son compte ce qui serait dépensé en plus.

( Un silence )

A – A votre avis, lequel des trois voyageurs a été « le prochain » de l'homme attaqué par les bandits ?

B – Certainement pas le prêtre...

C – Ni le lévite...

( Un silence )

B – Ni nous...

C – On avait peur...

B – On n'avait pas de pitié...

A – Oui, l'étranger a été bon pour lui. C'est lui son prochain. Nous, on devrait faire pareil.

( Un silence )

C – On doit faire la même chose ?

B – Oui : la même chose.

 

Cet Evangile bien connu est aussi un CHANT : AEC 776, 1-4 

                                                                                           

MESSAGE

Ce dimanche, c’est le dimanche du Bon Samaritain. On vient de chanter son histoire. Dimanche prochain, 14ème de la trinité, ce sera le thème du Samaritain reconnaissant : 10 lépreux sont guéris par Jésus, un seul revient dire merci, c’est un Samaritain. Je m’attends comme vous à entendre ce matin un texte de prédication qui nous parlera de solidarité, d’entraide,  de reconnaissance. Mais, surprise, pas du tout ! Je vous donne un indice, version Claude François : « si j’avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j’y mettrais tout mon cœur… Et j’y mettrais mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs, oh oh ce serait le bonheur… ».

 

                                                   Lecture Marc 3, 31-35

 

Ce texte me rassure, car dans ma vie de homme tout d’abord, et de pasteur ensuite, je suis souvent confronté à des mésententes au sein d’une même famille, mésentente ou tout du moins une tension qui se fait jour quasi-systématiquement lors des grands événements de la vie : baptême, mariage, et bien sûr obsèques. Mamie  ou papy vient de mourir ; c’est le moment rêvé pour la descendance de régler leurs comptes. Ah ? Vous avez  2 frères et 2 sœurs ? Ah, on ne les attend pas pour préparer le culte d’adieu ? (silence plus ou moins gêné). 

Comme dans le récit des noces de Cana où il engueule copieusement sa mère, Jésus n’est pas très tendre avec les siens, parmi lesquels « sa mère, ses frères et sœurs », oh oh,… . Scoop ! Et oui, le Christ Jésus avait des frères et sœurs…

On en trouve plusieurs fois la mention dans la Bible. Marc 6, 3 : Jésus, frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon ; donc 4 frères. Je continue le même verset : « Et ses sœurs ( les sœurs du Maître) ne sont-elles pas ici parmi nous ? ». Ses sœurs, anonymes, mais on comprend qu’il y en a au moins 2… Et oui, Jésus était certes le premier-né de Marie comme on l’entend dans les récits de Noël, mais ensuite, Marie et Joseph ont encore eu des enfants ! Au moins une fratrie de 7 enfants…Comme quoi, on l’oublie : premier-né ne veut pas dire unique… Il y a l’aîné et ensuite les puînés, joli mot de la langue française pour évoquer les cadets…

Ce qui est sûr, c’est que notre extrait d’Evangile de ce matin et sa conclusion nous amèneraient presque à relativiser l’importance de la famille : « tes frères et sœurs et ta mère sont dehors,  ils te cherchent »  - c’est qui ma famille ? C’est vous, ma famille, ma mère et mes frères, Ma famille, ce sont ceux qui font la volonté de Dieu ! »   A la fois rude, à la fois englobant ! Curieuse impression que nous laisse cette phrase.

La famille ! On sait aujourd’hui les difficultés que traversent les familles. Un couple sur deux divorce, et la durée de vie d’un couple « version honnête », comprenez sans tromperie de part et d’autre, fond comme la neige au soleil. Merci les réseaux sociaux, merci les applis de rencontres, merci internet, merci la société du zapping. On prend, on essaye, on jette… Je ne veux pas jouer au moralisateur, je serai d’ailleurs assez mal placé pour cela, mais nous savons qu’en terme de famille-modèle, le curseur en terme d’équilibre, de norme, est assez difficile à cerner. Là où il y a encore 40 ans la famille type c’était un papa, une maman, et deux beaux enfants avec les yeux bleus et les cheveux blonds en Alsace, on est passé à bien autre chose : un papa, une maman (ou quelque fois 2 papas ou 2 mamans) avec les enfants rapportés des unions précédentes… Et tout ce monde essaye de cohabiter sous le même toit. Pas évident tous les jours, on le sait bien…

 

L’Evangile nous rappelle pourtant en bien des endroits, l’importance de la famille. Recomposée ou pas d’ailleurs !

Nous croyons en Jésus qui  est venu dans le monde pour sauver ce monde. Il n’est pas venu sauver uniquement les couples mariés hétérosexuels qui le resteront toute leur vie ! Jésus, c’est le Sauveur de chacun, le Sauveur d’individualités juxtaposées, de personnes, chacune différente,  mais toutes aimées, appelées à la vie et aux réjouissances du Royaume.

 Mais au cœur de ce monde, il est aussi venu  chercher et sauver les familles.

Lorsque vous lisez les récits des premières conversions dans le livre des Actes,  il est mentionné plusieurs fois : « et il (Corneille) et elle (Lydie) furent baptisés ;  lui, elle et toute leur maison ». Le premier couple, la première famille de chrétiens officiels !

Qu’est-ce qui fait famille ? Seulement que l’on soit d’accord sur tout : valeurs, façon de voir la vie, la gestion du patrimoine, la même foi ? Trop simpliste comme raisonnement ! Posons alors une autre question :

Quel pourrait être le rôle de la famille, au sens chrétien ?

Cà et là, on se mobilise, chrétiens compris, contre le port d’armes à feu, contre le réchauffement climatique, contre les violences faites aux femmes, ….

On parle beaucoup aujourd’hui de conservation, de sauvegarde de la Création ; notre Union d’Eglises participe d’ailleurs jusqu’au 4 octobre au Temps pour la Création, appel œcuménique pour sensibiliser au rôle de nos Eglises dans ce combat écologique.   

 

Dans ce temps de rentrée scolaire 2025, où l’Education Nationale s’empare de l’éducation affective et relationnelle pour en faire une discipline à part entière, je rappelle que d’après moi, le premier lieu de l’apprentissage de la vie sociale est ou devrait être la famille !

Voilà peut-être le rôle de la famille : apprendre à être soi-même en étant avec d’autres.  La famille, c’est  l’école du vivre-ensemble, c’est là que je reçois des valeurs, c’est là que j’expérimente les limites, l’autorité, les sentiments….

 Aujourd’hui, beaucoup de parents voudraient se décharger sur l’enseignante ou l’entraîneur ou le pasteur de leur responsabilité parentale…Mais comme ceux-là le disent : moi prof, moi coach, moi pasteur, je suis là pour enseigner, pas pour éduquer !

 

Mais la famille a aussi ses limites. Et il est intéressant de les nommer !

Tout d’abord, la famille, ma famille de sang ne sera pas éternelle. Elle fait partie de l’ordre de la création sur terre et est donc périssable, bornée, limitée. Dans le Royaume de Dieu, il n’y aura plus la famille humaine, physique, telle que nous la connaissons. Mais d’autres relations…Relisez à ce sujet les épîtres du Nouveau Testament !

 

Comme présage de cette réalité, dans l’Evangile, à plusieurs reprises, Jésus prendra des distances avec sa famille. Dès l’âge de 12 ans déjà, il fait faux- bond à ses parents, il reste dans le temple pour discuter avec les scribes. Joseph et Marie se font un sang d’encre. Devant leur angoisse, il s’étonne qu’ils le cherchent et leur dit qu’il faut qu’il s’occupe des affaires de son Père Céleste !!

Mais dans la suite du récit il est ajouté « il descendit ensuite avec ses parents à Nazareth et il leur était soumis ». Et nous voilà arrivés au texte d’aujourd’hui rapporté par 3 évangélistes sur 4 autour de sa mère de ses frères et ses sœurs Oh oh…

« Qui est ma mère et qui sont mes frères et mes sœurs ? Quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux celui là est ma mère, mon frère, ma sœur ».//

Jésus ne méprise pas les siens, il ne joue pas à l’insolent de base. Sa famille de sang  finira d’ailleurs par comprendre qui est Jésus : sa mère et les siens croiront en lui comme au Messie.

En tant que protestant non soumis à la dévotion mariale, on ne peut pourtant que saluer l’engagement, voire la patience de Marie tout au long de l’Evangile ;  Jacques l’un des frères du Christ, sera   le chef de l’église de Jérusalem ; Jude, un autre de ses 4 frères, a écrit un livre du  Nouveau Testament, une épître plus exactement.

 

Et puis il y a cet épisode frappant à la croix : Jésus, crucifié, confie sa mère à son disciple bien-aimé, Jean. Jésus manifeste l’importance d’une famille élargie, au-delà des gènes communs : c’est la naissance de l’Eglise, au pied de la croix, bien avant la Pentecôte et ses 3000 baptêmes !

 

Bon ! Il y a enfin des textes, qu’on ne peut ignorer et où Jésus devient très dur ! Il dit à une personne qui veut le suivre mais qui veut encore enterrer son père « laisse les morts enterrer les morts »  dur-dur !!

Et il y a des mots plus durs encore Mat. 10. 34-35 « je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive. Oui, je suis venu séparer l’homme de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère »

Quelqu’un qui préfère sa famille au royaume de Dieu est indigne de ce royaume.

De manière excessive et brutale, Jésus insiste sur l’urgence et l’importance du royaume de Dieu qui prime, y compris  sur les liens familiaux.

 

Conclusion de tout ce que je viens de dire : la famille est certes essentielle au développement humain, mais elle ne doit pas être un obstacle au Salut.

Alors que retenir de tout cela :

Je pense que l’importance de la famille n’est pas à remettre en question. Elle est essentielle, irremplaçable pour notre vie, notre développement, notre épanouissement. Elle est et restera le creuset où s’élaborent les valeurs de la conscience et la conscience des valeurs ! Rien ne pourra jamais la suppléer ou la remplacer. A nous de faire le tri dans la malle pédagogique qui nous a été laissée par nos parents : on sait bien qu’on n’a pas envie de tout reproduire, et de plaquer l’éducation que nous avons reçue sur celle de nos enfants…

La foi, l’espérance et l’amour sont pour le chrétien la base d’une vie accomplie ; si la foi - confiance, l’espérance ou l’amour manquent dans une famille, c’est tout simplement la fin de la famille !

 

Le mot d’ordre de la semaine dit : « ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »

En songeant à ce verset, je constate souvent,  à l’écoute des uns et des autres ou en préparant un curriculum-vitae pour un enterrement,  qu’il y avait bien de la solidarité, de l’amour, du partage dans cette vie, mais uniquement en vase clos. Ou alors uniquement avec ceux qui ne faisaient pas partie de famille…

 

Les valeurs de foi, d’espérance et d’amour sont appelées à être vécues par les chrétiens dans un cercle plus large que la seule famille, mais aussi et déjà à l’intérieur de nos cellules familiales.

 

Cela signifie que nous sommes doublement liés : d’abord par le sang, l’arbre généalogique, le contrat de mariage ou le testament notarié, mais aussi liés par une alliance divine avec l’Humanité tout entière.

 

Par le baptême, entrée dans la famille de Dieu, nous sommes tous unis en Christ notre frère et nous sommes tous enfants d’un même Père.

 

Alors c’est qui mon Père, ma mère, mes frères, mes sœurs ? Oh oh…

 Pour moi, c’est vous ! Amen.

 

(bref interlude à l’orgue)

 

CHANT : Tu nous appelles à t’aimer AEC 532, 1-3  

Annonces –

 

Intercession : (priere) pasteur et 3 lecteurs

JPS : Dans l’amour et dans la foi, présentons au Seigneur nos requêtes et nos intercessions :

                

L.1 : Pour les enfants, les catéchumènes, les jeunes du groupe de jeunes, les adultes tous les groupes de notre paroisse et de notre Eglise afin qu’ils découvrent l’Evangile avec joie et apprennent à le vivre au quotidien, nous te prions Seigneur

 

L.2 : Pour les pères et les mères de famille, afin qu’ils soient des témoins du Christ pour leurs enfants, qu’ils accomplissent avec discernement leur tâche d’éducateurs et fassent régner dans la maison un esprit d’amour et de service, nous te prions, Seigneur

 

L.3 : Pour les personnes âgées, afin que jusqu’à la fin de leur vie elles trouvent de l’affection à partager, nous te prions, Seigneur

 

JPS : Seigneur, nous te prions aussi en ce jour pour tous ceux pour qui la rentrée sera signe de changement, pour celles et ceux qui envisagent une réorientation scolaire ou professionnelle, pour ceux qui ont répondu à un appel.

Nous te remettons aussi nos malades, tous ceux qui luttent contre la souffrance.

Dieu, notre Père, ton Fils nous a promis que lorsque nous serions assemblés en son nom, comme des frères et des sœurs, il sera parmi nous pour entendre nos prières ; exauce-nous maintenant, lorsque nous te disons les uns avec les autres: Notre Père…

 

Nous te prions tous ensemble Notre père qui es aux cieux…

 

Envoi : Avant de nous envoyer vers les autres, vers le travail qui nous attend, le Seigneur nous dit :

"Va avec la force que tu as" Juges 6, 14

 

Va avec la force que tu as, deviens un témoin de la foi.

 

CHANT : Viens et nous bénis AEC 890, 1+3

 

Bénédiction 

 
 
 

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