FETE DE LA TRINITE – 26 mai 2024
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Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu le Père et la communion du Saint-Esprit soient avec vous tous ! 2 Corinthiens 13.13 ( fin de la lettre de Paul)
C’est avec cette salutation de Paul dans sa 2ème aux Corinthiens que s’ouvre traditionnellement le culte. On y évoque le Fils, Jésus-Christ, Dieu le Père et l’Esprit qui nous a été donné dimanche dernier, au jour de la Pentecôte.
En ce jour de la fête des mamans, soyez tous les bienvenus pour ce culte, en ce dimanche où nous fêtons la Trinité. Le pack du chrétien est désormais complet : l’amour du Père (cœur), la vie du Christ ( mort sur la croix et ressuscité), et la colombe de l’Esprit, cette flamme déposée au fond de notre cœur, voilà le socle de la foi qui nous anime.
Depuis l’Ancien Testament, nous croyons en un Dieu Créateur qui est devenu Père le jour de Noël. Ce Fils qui nous été donné, Jésus-Christ, est notre Sauveur, enseignant ici-bas, nous proposant une orientation de vie. Il a vaincu la mort et les ténèbres à Pâques, est monté au ciel et nous a envoyé une force : le Saint-Esprit.. Aujourd’hui, s’ouvre donc le temps de la Trinité, lors duquel nous évoquons Dieu sous ces 3 visages : Père, Fils et Saint-Esprit.
3 visages de Dieu, et 3 cloches dans notre clocher : il y a 100 ans elles étaient installées. Nous nous en souviendrons aussi lors de culte !
La salutation liturgique est aussi le mot d’ordre de ce dimanche et de toute la semaine:
Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu le Père et la communion du Saint-Esprit soient avec vous tous ! 2 Corinthiens 13.13 ( fin de la lettre de Paul)
Entrons donc dans la célébration du Dieu trois fois saint en chantant le premier cantique :
CHANT : Gloire à ton nom AEC 261, 1-3
Psaume : en alternance
P : Je t'exalterai, mon Dieu, mon Roi,
A : je bénirai ton nom toujours et à jamais !
P : Chaque jour je te bénirai,
A : je louerai ton nom toujours et à jamais.
P : Il est grand, le Seigneur, hautement loué ;
A : à sa grandeur, il n'est pas de limite.
P : D'âge en âge, on vantera tes œuvres, on proclamera tes exploits.
A : ton règne, un règne éternel, ton empire, pour les âges des âges.
Répons : Nous t’adorons, nous t’aimons AEC 267 , 1+2+3
Pénitence:
Réunis à l’église ce matin, nous nous présentons devant Dieu. Il nous accueille tels que nous sommes, avec nos joies et nos peines, nos qualités et nos défauts, avec toutes nos limites qui nous empêchent d’être en harmonie avec nous-même, avec ceux qui partagent nos existences, nos frères et sœurs en humanité, avec toi-même, toi notre Dieu.
Toi que nous confessons Père, pardonne-nous lorsque, comme le Fils prodigue, nous nous sommes éloignés de Toi.
Fortifie notre espérance en ton Fils Jésus Christ, qui nous a partagé un enseignement souvent bien éloigné de nos façons de vivre et de penser, ce Fils dont la mort sur la croix nous effraye et dont la vérité de sa résurrection nous questionne.
Prends pitié lorsque le feu de l’action du Saint-Esprit diminue en nous, recouvert , tiédi, éteint lorsque les événements extérieurs, les épidémies, maladies, l’état inquiétant du monde nous questionnent et nous font douter de ton action, de ta présence, de ta toute-puissance.
Toi Dieu Père Fils et Saint Esprit,
Donne-nous de surmonter nos incompréhensions, nos frustrations, nos manquements.
Pardonne-nous, et fais nous comprendre qu’avec Toi, tous les recommencements sont possibles et attendus !
Amen
Répons : Tu peux naître de nouveau AEC 417, 3
Grâce :
Tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils et filles de Dieu. Car l’Esprit que vous avez reçu n’est pas un esprit qui vous rende esclaves et vous remplisse à nouveau de peur ; mais c’est l’Esprit Saint qui fait de vous des fils et des filles de Dieu et qui nous permet de crier à Dieu : « Mon Père ! ». L’Esprit de Dieu affirme lui-même à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
C’est pourquoi, chantons notre délivrance:
Répons : Magnifique est le Seigneur AEC 174, 1+2
Prière avant les lectures bibliques :
Seigneur notre Dieu, en cette fête de la Trinité, nous nous souvenons que tu es devenu notre frère en Jésus, mais que tu es aussi notre Père qui veut nous renouveler, par ton Esprit. Nous t’en prions : qu’à l’écoute de ta Parole, nous puissions encore nous rendre plus fraternel ; apprends-nous à mettre en pratique l’enseignement du Christ. Amen.
Lectures bibliques :
1) dans l’Ancien Testament, lecture du livre du prophète Esaïe chap 6, 1-8
2) 6 1 C'était l'année où mourut le roi Ozias. Dans une vision, j'aperçus le Seigneur assis sur un trône très élevé. Les pans de son manteau remplissaient le temple. 2 Des anges flamboyants se tenaient au-dessus de lui. Ils avaient chacun six ailes : deux leur servaient à se cacher le visage, deux à se voiler le corps et deux à voler. 3 Ils criaient l'un à l'autre : « Saint, saint, saint, le Seigneur de l'univers ! La terre entière est remplie de sa glorieuse présence. »
4 Leur voix faisait trembler les portes sur leurs pivots, et le temple se remplit de fumée. 5 Je dis alors : « Hélas, me voilà condamné au silence car mes lèvres sont indignes de Dieu, et j'appartiens à un peuple aux lèvres tout aussi indignes de lui. Or j'ai vu, de mes yeux, le Roi, le Seigneur de l'univers ! »
6 Mais l'un des anges flamboyants vola vers moi. Avec des pincettes il tenait une braise qu'il avait prise sur l'autel. 7 Il en toucha ma bouche et me dit : « Ceci a touché tes lèvres, ton indignité est supprimée, ton péché est effacé. » 8 J'entendis alors le Seigneur demander : « Qui vais-je envoyer ? Qui sera notre porte-parole ? » — « Moi, répondis-je, tu peux m'envoyer. »
Répons : Alléluia
3) Evangile de Jean chap 3, versets 1-8
1 Il y avait un homme appelé Nicodème, qui était du parti des Pharisiens et qui était l'un des chefs juifs. 2 Il vint une nuit trouver Jésus et lui dit : « Maître, nous savons que Dieu t'a envoyé pour nous apporter un enseignement ; car personne ne peut faire des signes miraculeux comme tu en fais si Dieu n'est pas avec lui. » 3 Jésus lui répondit : « Oui, je te le déclare, c'est la vérité : personne ne peut voir le Royaume de Dieu s'il ne naît pas de nouveau. » 4 Nicodème lui demanda : « Comment un homme déjà âgé peut-il naître de nouveau ? Il ne peut pourtant pas retourner dans le ventre de sa mère et naître une seconde fois ? » 5 Jésus répondit : « Oui, je te le déclare, c'est la vérité : personne ne peut entrer dans le Royaume de Dieu s'il ne naît pas d'eau et de l'Esprit. 6 Ce qui naît de parents humains est humain ; ce qui naît de l'Esprit de Dieu est esprit. 7 Ne sois pas étonné parce que je t'ai dit : «Il vous faut tous naître de nouveau.» 8 Le vent souffle où il veut ; tu entends le bruit qu'il fait, mais tu ne sais pas d'où il vient ni où il va. Voilà ce qui se passe pour quiconque naît de l'Esprit de Dieu. »
Répons : pas de répons mais chant Naître, renaître
CHANT : Refrain : Naître, renaître, d’eau vive et de feu
Naître, renaître en enfant de Dieu.
1. Plongé dans l’Esprit, dans son feu, sa flamme
Le souffle de vie qui conduit à Dieu. Refrain.
2. Plongé dans l’Amour, tu deviens l’image
Tu peux ressembler à l’homme nouveau. Refrain
3. Plongé dans l’Eglise, des sœurs et des frères,
Où tous sont égaux aux yeux de Dieu. Refrain
Message
Une fois n’est pas coutume, alors commençons par une devinette : saurez-vous me dire quel est le point commun entre la Trinité fêtée en ce dimanche, les vitraux dans le chœur et les cloches de notre église? (le chiffre 3: La trinité commémore les 3 visages de Dieu : Père, Fils et St-Esprit ; dans le chœur il y a 3 vitraux datant de 1946 : à gauche le baptême, à droite la Sainte Cène et au milieu la Parole (lumière de la Bible) et dans notre clocher, se trouvent la petite, la moyenne, la grande cloche.
Petite pensée au passage pour cet instituteur que l'on connait tous, qui au moment du chahut provoqué par la sonnerie de 16h disait à sa classe: "silence, la cloche, c’est moi!!"
La cloche, les cloches sont aussi un thème de la chanson: pensez à Kling Glöckchen klingelingeling… / Ring my bell dans les années disco, Hell's bells pour les métalleux avec ACDC, Pink Floyd avec Division bell, et plus près de chez nous Les 3 cloches, tube d'Edith Piaf et des Compagnons de la chanson,
Une cloche sonne, sonne, …c'était pour Jean-François Nicaut, il a été baptisé, s'est marié et au dernier jour encore, pour lui, les cloches ont sonné. En voici le dernier couple, plein de poésie:
Une cloche sonne, sonne,Elle chante dans le vent.Obsédante, monotone, Elle redit aux vivants"Ne tremblez pas, coeurs fidèles! Dieu vous fera signe un jour.Vous trouverez sous son aile,Avec la vie éternelle,L'éternité de l'amour!
Chers amis, les cloches de notre église chantent dans le vent depuis des siècles et des siècles ; déjà au 14ème siècle se dressait sur ce monticule de terre une église ; en 1750, cette vieille église du Moyen Age a été démolie et remplacée par un nouvel édifice qui sera doté de 2 cloches… La plus grosse fut réquisitionnée pendant la période révolutionnaire. En 1833, 40 ans après la Révolution, la cloche restante fut remplacée par deux nouvelles, du fondeur Edel de Strasbourg. Elle est toujours là et porte le joli nom de Glauben Liebe Hoffnung, foi amour et espérance, comme la finale de l'apôtre Paul aux Corinthiens: maintenant, ces 3 choses demeurent: la foi, l'espérance et l'amour…
Début du XXème siècle : 1907: un coup de foudre endommage notre église; 1908: on pose la première pierre de l’actuelle église, achevée et inaugurée en 1909.
1917 : l’une des deux cloches fut réquisitionnée par les autorités allemandes, et oui c’était la guerre, la Grande Guerre. N’en restait donc plus qu’une en 1918 !
Arrive l’année 1924 : un culte solennel saluait l’installation de 2 nouvelles cloches venues d’Annecy , du fondeur Paccard. Elles seront désormais 3 à retentir du haut de notre clocher :
La petite de 1933, la moyenne s'appelle Ehre sei Gott in der Höhe, gloire à Dieu au plus haut des cieux, acclamation que l'on entend à Noël par exemple, donation par J. Hampelé
Et la grande cloche de 1924 appelée ein Eine feste Burg ist unser Gott, psaume 46, hymne de Martin Luther, payée par les paroissiens de Lingolsheim ( vous les voyez sur la remorque dans la cour Krencker, entourés des conscrits, autorités et paroissiens de l’époque).
Et depuis 1924, ces 3 cloches sonnent pour nous appeler au culte le dimanche, elles sonnent le glas avec une musique bien précise en fonction qu’il s’agisse du décès d’une femme, d’un homme ou d’un enfant. Elles symbolisent aussi la joie au moment des armistices, de l’entrée en Avent, lors d’un mariage… et elles font monter les intercessions et accompagnent systématiquement la prière du Notre Père. Combien de fois n’ai-je entendu lors de mes visites : je ne viens pas ou je ne peux plus venir au culte, mais quand j’entends les cloches, je partage une pensée, une prière.
Et oui, les cloches sont vraiment un marqueur dans notre environnement : elles font partie du patrimoine sonore de notre ville, car elles donnent aussi l’heure ! De 7 heures du matin à 22h, nous les entendons 64 fois/jour, 365 jours dans l’année, rythmant les ¼ d’heure et les heures pleines.
Comme on sonnait autrefois la corne de bélier au Temple de Jérusalem, comme dans certaines traditions, on privilégie la voix humaine pour appeler à la prière, chez les chrétiens, on sonnera les cloches.
Que de légendes et de mystères les entourent ! Longtemps, en effet, les hommes ont cru, plus ou moins confusément, que les cloches avaient une âme. Elles étaient de toutes les fêtes : baptêmes, mariages, enterrements ; elles sonnaient le glas et leurs battements tristes ou joyeux marquaient aussi les grands et petits moments de la vie communale - guerres, visites solennelles, mais aussi la fête paroissiale ou les incendies, voire les orages. Si proches des gens que, dès avant Charlemagne et presque jusqu'à nos jours, il est arrivé à l'Église catholique de les baptiser, et pas seulement de les bénir !
Ces êtres familiers ont aussi une histoire, lointaine et méconnue. La sécurité de l'âme et le plaisir de l'ouïe qu'elles procurent étaient déjà appréciés des Grecs. Chez eux, ce sont les dévots de Dionysos, le dieu des extases et des courses folles, qui s'attachent autour de la poitrine des lanières garnies de clochettes ou de grelots pour célébrer leur dieu.
Comment est-on passé de ces sonnailles aux majestueux bourdons de nos cathédrales, qui ont de toutes autres proportions et un tout autre usage ? Cela s'est produit peu à peu, à partir du IVe siècle et de la fin du monde antique. Dans le désert égyptien, les Pères avaient parfois recours à des clochettes à main pour effrayer les démons. C'est grâce à l'une d'elles que saint Antoine exorcisa un porc possédé qui devint ensuite son fidèle compagnon.
Lorsqu'ils partirent au loin évangéliser l'Irlande ou la Cornouaille, les missionnaires emportèrent avec eux cet attribut, qui impressionna les indigènes. Il reçut le nom gaélique de clagan ou clogga, d'où dérivent les formes française cloche et allemande Glocke.
Depuis la paix romaine avec l'édit de Milan, scellé en 313 par l’empereur Constantin, le peuple de Jésus-Christ était appelé à se réunir par un son, mais pas tout de suite de cloche ! C’était d’abord une simandre, sorte de planche allongée que l'on heurtait avec un marteau. Deux coups alternés, bref-long, bref-long, c'était l'appel de Dieu cherchant l'homme qui se cachait dans le jardin d'Éden après la faute : « A-dam ! A-dam ! » berf-long, bref-long…
La planche signifiait le bois de la croix et le choc du marteau rappelle la crucifixion du Christ.
La cloche arrivera quelques siècles plus tard, connue sous le nom latin et italien campana : c'est le « récipient de Campanie », région d'Italie qui fabriquait un bronze excellent, au son si beau, si grave et si vibrant qu'il élimina définitivement le fer dans la fabrication des cloches. Et c’est ainsi que se développèrent les cloches et leur essor, d’abord en Europe occidentale…
Et aujourd'hui ? Non sans mal, le protestantisme, puis les Lumières sont venus à bout de l'aura des cloches, perçues longtemps comme des protectrices de la communauté. Il aura fallu de rigoureuses expériences scientifiques pour qu'on se persuade qu'il ne servait à rien, au contraire, de les sonner pour écarter l'orage et la foudre.
Dans certaines églises modernes, on n’a pas jugé utile d’installer un clocher ; l’église protestante à l’Elsau n’en dispose pas par exemple, ni la chapelle protestante st-Marc à Lingolsheim. Idem pour les communautés évangéliques, souvent réunies dans d'anciens halls industriels. La justification théologique apportée à cet état de fait est tout simple à comprendre : outre l’argument financier, le discours est de dire pas de prosélytisme sonore, pas d’hégémonie voire d’agression auditive, mais laissons-faire la Parole de Dieu. C’est là que se fait le véritable appel. Pas les oreilles, mais le cœur!
Aujourd’hui, ici, dans notre paroisse, nous cumulons les 2 appels : celui des cloches 10 minutes avant le début du culte, et l’appel de la Parole qui est lue et fidèlement prêchée, culte après culte, mariage après mariage, enterrement après enterrement…
Les cloches, la plus joyeuse expression que l'homme ait su donner au sacré, ont une histoire, nous l’avons vu.
Et pour demain ?
Souhaitons donc à nos 3 cloches de carillonner encore pendant des siècles et des siècles sur la sainte terre de Lingolsheim, en dialogue avec les autres clochers et communautés de notre ville ! Pour le service et la gloire de Dieu !
AMEN
(bref interlude)
CHANT : O Saint-Esprit, Esprit d’amour AEC 506, 1+5
Annonces ( verre de l’amitié) et offrande ( interlude)
Prière d’intercession :
Prions : Dieu notre Père, nous voulons te dire merci pour ce dimanche.
Tu nous as redit ton amour et ta tendresse, tu nous as redit que rien ne peut nous séparer de ton amour. Grâce te soit rendue de pouvoir nous retrouver ce matin, ensemble, après avoir vécu dimanche dernier un beau temps de fête et de joie avec les confirmands et leur famille. Nous pensons aux plus fragiles d’entre nous, qui hésitent encore à participer à nos célébrations, et nous les portons dans notre prière. Nous voulons aussi ce jour penser à tous ceux qui ont vécu dans leur famille ou leur entourage proche un événement douloureux lors de cette semaine.
Merci pour le chemin de foi collectif que tu nous offres lorsque nous sommes réunis en communauté confessante, priante, chantante. Mais nous savons aussi que notre foi se développe sur un chemin aussi plus personnel, plus intime, et il a aussi du sens. Sur le chemin de foi sur lequel nous cheminons, nous savons que nous ne sommes pas seuls. Tu nous donnes des sœurs et frères dans la foi, tu nous ouvres des lieux de ressourcement ici dans cette paroisse et ailleurs. Fais-nous la grâce de trouver le lieu où nous pouvons partager nos expériences, nos questions, nos joies, nos espérances, nos doutes.
Seigneur, sois avec chacun d’entre nous, garde-nous dans ta tendresse et conduis-nous selon tes promesses. Et si nous venions à nous égarer loin de toi, donne-nous l’assurance que tu nous tends les bras et que ton amour et ton pardon sont plus forts que tous les égarements et toutes les blessures.
Nous te confions notre famille de sang, notre famille paroissiale, notre grande famille chrétienne.
Nous te prions pour que cessent les guerres, les violences sur fond de racisme et de communautarisme.
Et tous ensemble poursuivons notre prière en disant d’un seul et cœur et d’une seule voix, la prière que le Christ Jésus notre Seigneur nous a laissé lorsqu’il a dit à ses disciples de prier ainsi : Notre Père
CHANT FINAL: Dans la maison du Père 2 strophes
Dans la maison du Père, tout est déjà prêt
Tout est déjà prêt, tout est déjà prêt ;
Dans la maison du Père, tout est déjà prêt !
C’est la joie, joie, joie !
Vers la maison du Père, je suis en chemin
Je suis en chemin, je suis en chemin ;
Vers la maison du Père, je suis en chemin ;
C’est la joie, joie, joie !
Bénédiction : 24 «Que le Seigneur vous bénisse et vous garde ! 25 Que le Seigneur vous regarde avec bonté et vous accueille favorablement ! 26 Que le Seigneur vous manifeste sa bienveillance et vous accorde la paix !»
POSTLUDE A l’orgue
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