Culte de famille
Dimanche 04 février 2024
Thème l’engagement
Entrée musicale : Celebration Kool & The gang CD
Youhoo ! This is your celebration Youhoo ! C'est ta célébration Célébrons ces bons moments, viens ! (Célébrons)Célébrons ces bons moments, viens ! (Célébrons)Il y a une fête qui va commencer ici On célébrera cette fête avec toi Viens et maintenantIl est temps d'y aller tous ensemble Allez, venez !
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Celebration : Kool&The gang en français ça donne célébration. Célébrer, fêter, chanter, y aller et être heureux parce qu’on est ensemble: c’est ça le culte !!
.Nous faisons partie de la même famille, celle des chrétiens
Bienvenue à toutes et tous pour cette célébration, pour ce culte de famille du mois de février.
Le thème de ce culte de famille s’intitule : « l’engagement », et cela pour plusieurs raisons : tout d’abord parce qu’aujourd’hui ce sont les élections. Pas pour élire le président de la République, ni le maire, ni les députés européens , mais pour élire les conseillers presbytéraux. Celles et ceux qui s’occupent de la paroisse, de sa gestion autant matérielles (les bâtiments, les fêtes,…) que la gestion spirituelle, des cultes, de la vie des groupes qui font de notre paroisse une paroisse vivante.
C’est un jour de vote aujourd’hui, et 6 candidats, 4 anciens et 2 nouvelles recrues, attendent d’être élus. Voter, glisser le bulletin dans l’urne, c’est leur dire ; « oui, nous vous accordons notre confiance dans votre engagement pour le bien de notre paroisse ici à Lingolsheim.
S’engager, c’est aussi se mettre en route. Nous entendrons plusieurs témoignages, dont ceux d’Abraham et de ses amis, et celui du jeune Jérémie.
L’engagement, c’est aussi se rappeler que Dieu attend quelque chose de nous. Qu’on lui fasse une place dans notre vie, dans notre cœur, dans notre emploi du temps.
Dieu, lui, s’est engagé envers nous depuis longtemps. Depuis que nous sommes nés et même avant notre naissance, depuis que nous avons reçu le signe du baptême en son nom, il nous connaît par notre nom. Et il
Que Dieu, Père, Fils et Saint Esprit nous donne de la joie, la joie d’être ensemble et de nous retrouver. Qu’il nous accompagne et nous guide pour ce temps de culte que nous célébrons en son nom> AMEN
CHANT AEC 622, 1-3 : Si Dieu pour nous s’engage…
Louange :
Merci Seigneur car tu nous réunis ce matin,
Nous sommes venus te célébrer dans ta maison.
Merci car un nouveau soleil s’est levé ce matin
Une nouvelle journée pour le monde entier.
Merci pour ta présence dans nos vies.
Seigneur, tu existes pour chacun de nous,
Tout homme, toute femme, tout enfant.
Merci de nous réunir dans ta maison. Amen
Continuons notre louange en disant en chanson que Dieu nous réunis tous dans une seule et même famille !
Répons : Oui, nous faisons partie AEC 527, 2 x ( dynamique !)
Pénitence
Seigneur, toi qui es venu dans ce monde pour nous aimer et nous accompagner en toute circonstance, nous voulons te dire que tu n’es pas devenu plus proche de nous ! On te célèbre, on est bien ensemble, oui mais après en sortant d’ici ? On est prêt à te faire une petit place, une heure par semaine, une heure par mois ;…ou encore moins ?
Quelque fois, on s’engage et on dit ; bon, cher Dieu, cher Jésus, à partir de maintenant, je vais faire ma prière tous les soirs, chanter pour te dire merci avant le repas…et puis finalement, on oublie…
On s’engage aussi par rapport aux autres :
Les enfants par rapport aux parents : oui papa , oui maman, je vais être plus sage dorénavant. Oui, j’ai bien compris la leçon, je ne recommencerai pas ! Le faisons-nous ?
Les parents par rapport aux enfants : Oui, mon fils, ma fille, je te promets d’être plus à l’écoute. Je serai plus patient, je m’énerverai moins vite.
Le faisons-nous ?
Seigneur, pour toutes les fois où je ne tiens pas mes promesses, prends-pitié de moi.
Répons : Prends pitié de moi mél AEC 609 ( Kumbaya) 1x
Parole de grâce
L’apôtre Jean écrit : Si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur et il discerne tout (1 Jean 3 : 20)
Dieu est plus grand que notre cœur...Il connaît nos faiblesses, nos peurs et nos hésitations, Jésus-Christ est plus grand que notre cœur. Il a combattu la crainte et la peur. L’Esprit Saint est plus grand que notre cœur. Il nous délivre de nos peurs. Dieu le Père, le Fils, et le Saint Esprit, est plus grand que notre cœur. Il nous relève, il nous pardonne.
Répons : AEC 167 Quand les montagnes s’éloigneraient
Décor: tente devant l’autel.
A propos de s’engager, je vais vous raconter l’histoire d’un homme qui sait ce que ça veut dire « aller au bout ». Abram, a répondu OUI à Dieu qui l’a appelé. Et ce n’est pas seulement lui qu’il a mis dans la balance, mais aussi toute sa famille, tout son peuple. Mais écoutez plutôt.
HISTOIRE D’ABRAHAM
C’était il y a bien longtemps, aux temps qu’on dit bibliques. Dans le désert, près de la ville de Haran, vivait une famille, une grande famille, riche : elle avait beaucoup de moutons dans son troupeau. Elle comptait aussi un grand nombre de personnes : des hommes, des femmes et aussi beaucoup d’enfants. Les enfants sont une richesse, ils sont ceux qui agrandiront la famille, qui lui donneront une descendance.
Parmi les hommes de la famille de Térah vivait Abram ; il était marié à Saraï, mais bien que le temps ait déjà passé et qu’ils s’aiment fort, ils n’avaient pas encore d’enfant.
Abram avait la responsabilité d’une partie du troupeau et il l’emmenait souvent paître près de la rivière. Certains jours lorsqu’il avait plu, elle était belle, son cours s’élargissait, les plantes fleurissaient et l’herbe reverdissait faisant le régal des montons et des chèvres.
Et puis, d’autres jours, lorsqu’il n’avait pas plu depuis longtemps, elle devenait un petit ruisseau à peine suffisant pour abreuver les bêtes.
Ces jours-là Abram se disait qu’il faudrait peu-être aller plus loin chercher des pâturages et de l’eau… mais c’était comme ça ; il n’était pas le chef de la famille et il ne pouvait décider seul des déplacements de la tribu.
Il passait beaucoup de temps à penser, Abraham…Vous savez… lorsqu’on passe beaucoup de temps seul, on réfléchit, on pense…Comme vous, lorsque vous êtes tout seul, vous imaginez des histoires…
Eh bien, Abram était comme nous, lorsqu’il gardait ses troupeaux, il rêvassait, il regardait les nuages et il s’interrogeait sur Dieu.
Et voici qu’un jour, alors qu’il est installé au bord de la rivière réduite à un ruisseau, à regarder son troupeau, à s’attendrir sur les agneaux nouveau-nés, il entend une voix qui lui dit :
ABRAM, ABRAM, Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père et va dans le pays que je te montrerai…
Abram se retourne, regarde en l’air (on ne sait jamais),cherche autour de lui et…ne comprend rien.Qui a bien pu lui parler dans ce désert où il se trouve seul ?
Il rentre chez lui, ne dit rien à personne ; son père et Saraï remarquent bien qu’il est pensif, mais ils n’arrivent pas à le faire parler.
Quelque temps plus tard, il est de nouveau dans le désert avec ses moutons et ses chèvres et il entend de nouveau la voix :
ABRAM, ABRAM, Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père et va dans le pays que je te montrerai…
De nouveau, il cherche d’où vient la voix et celle-ci s’élève encore une fois :
CHANT : Abraham, Dieu t’appelle (paroles refrain 1) AEC 767,1
ABRAM, ABRAM, Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père et va dans le pays que je te montrerai…
Alors cette fois-ci, il comprend ; la voix… cette voix, c’est celle du Dieu auquel il pense à chaque fois qu’il se retrouve seul ici ou là, Celui vers qui se tournent ses pensées…
Celui, en fait, qu’il a envie de suivre le restant de ses jours.
Alors Abram retourne à Haran et annonce sa décision à son père. Celui-ci tente de le dissuader de partir. Il ne connaît pas ce Dieu qui s’adresse à son fils et qui prend tellement d’importance que, lui, Térah, le père, le chef de la famille ne peut pas lutter.
C’est comme ça qu’Abram, accompagné de Saraï et de Loth, son neveu, quitte Haran et son père.
Il a fallu convaincre Saraï ; elle ne voulait pas quitter sa famille pour aller courir les pistes de ce pays désertique à la suite d’un Dieu qui promet un pays…quel pays ? Il faut juste le suivre et attendre qu’il donne les indications à Abram.
Après de nombreuses discussions, Abram réussit à la convaincre et on commence à préparer la caravane. Ce n’est pas une mince affaire de préparer un voyage dans ce temps-là. Il faut réunir les chameaux, les calmer, les charger ; il ne faut pas oublier les tentes, les ustensiles de cuisine, compter les mesures de blé, de viande séchée dont on aura besoin pendant le voyage, (il n’y a pas Carrefour, Auchan…), vérifier l’état des outres que l’on remplira quand on rencontrera un puits, compter les bêtes, ne pas perdre d’enfants, c’est précieux, les enfants…
Ça en fait des choses à penser…
Enfin au bout d’une semaine, tout est prêt, tout le monde a son bâton de marche en main, les enfants sont rassemblés, les moutons aussi et les ânes…on peut y aller dans les pleurs et les adieux…pas facile de se quitter, on ne sait pas quand on se reverra et si on se reverra.
CHANT : Abraham, Dieu t’appelle (paroles refrain 1) AEC 767,3
Voici les témoignages de certains la nuit avant le grand départ :
Témoignages dans la tente - Scène de famille
Témoignages dans la tente :
(trois personnes se montrent l’un après l’autre sous la tente et rendent témoignage de leurs émotions)
• Inquiétude : comment cela va être ? Personnage 1 : Il est temps. Bientôt, nous allons nous mettre en route. Je me suis habitué à ce lieu où nous étions jusqu’à maintenant. Oui, je sais bien qu’il faut avancer. Mais je reconnais mon inquiétude : Comment cela va être ? La route me fait peur. Je vois tout ce qui peut nous arriver. Et où allons-nous ? Comment cela va être là-bas ? La peur me colle au ventre …
• Personnage 2 : Bientôt nous allons partir. Quelle chance ! Cela me hâte de changer et de voir autre chose. Je sens : cela va être super! Un départ, un recommencement : c’est toujours excitant …vite, il faut que je me dépêche pour tout préparer.
Personnage 3 : Être nomade cela ne s’improvise pas. Il faut s’y mettre ensemble. Tout seul on sera perdu. Se mettre en route, aller en avant n’est possible que si on peut compter sur les autres. Nous sommes une communauté solidaire. Il faut faire attention à ceux qui ne peuvent pas avancer trop vite, porter pour ceux qui ne peuvent pas porter trop lourd, soigner ceux en souffrance. Nous apprenons à nous connaître, à nous apprécier ou à nous soutenir les uns les autres…. mais surtout nous ne lâchons pas, nous restons ensemble car nous avons un projet commun. Allons-y !
CHANT : CHANT : Lorsque Dieu nous appelle (paroles refrain II) AEC 767,(2 x refrain uniquement)
Message : Jérémie Trop jeune ??
Pour le message de ce matin, comme dirait Marine dans les Sisters, j’ai eu une « idée de génisse ! ». Débutez mon message avec un des personnages phare de mon enfance, et d’une publicité l’accompagnant : la vache qui rit !
Oh la vache ! Voilà ce que beaucoup de Parisiens se sont dit en voyant les tracteurs encercler la capitale, et notamment les marchés de Rungis. Oh la vache, c’est aussi ce que se sont dit certains responsables paroissiaux et pasteurs lorsque, tous les 3 ans, il fallait renouveler le cheptel de conseillers presbytéraux. Je connais des paroisses où il manque encore aujourd’hui des candidats : là où il fallait jusqu’à 6 candidats, il n’y avait que 3,4 bonnes âmes pour se présenter.
La vache : l’idée n’est pas de traire les bénévoles en Eglise jusqu’à l’épuisement, car je crois que ce mandat de conseiller presbytéral ou d’administrateur associatif peut se faire aussi dans la joie, dans la paix, dans une forme d’ouverture et d’accomplissement personnel. Chacun est tel qu’il est, bien sûr, mais surtout chacun a quelque chose à apporter, chacun a une compétence, un don, un charisme à faire valoir. C’est la fameuse image de l’Eglise, corps du Christ, développée par l’apôtre Paul : chacun des membres est important, il contribue à l’unité du tout.
Mais je reviens à ma pub pour la vache qui rit ! Souvenez-vous ! 1984, j’avais 6 ans ! C’était cette pub sous forme de dessin animé dans laquelle on voyait arriver différentes vaches pour un casting : une noire, une rousse, une vache rock’roll avec une banane et le perfecto…et à chaque fois, une voix qui donnait son commentaire : Trop banal, trop typé, trop maigre, trop Lourd !
Jusqu’à ce qu’arrive la fameuse vache rouge avec ses jolies boucles d’oreilles ! Trop si, pas assez ça…trop de boulot, pas assez de temps, trop tard,…c’est aussi les excuses qu’on prend lorsqu’on n’a pas envie de faire quelque chose.
J’en rajoute une : « j’suis trop vieux maintenant, faudrait penser à me remplacer ! ». Et ben c’est l’excuse qu’a utilisé Jérémie dans un livre qui porte son nom dans l’AT. Sauf que lui n’a pas dit : « Ch’suis trop vieux ! » Non, lui, il se trouvait trop jeune !
Lecture Jérémie 1.4-81 4 Je reçus cette parole du Seigneur : 5 « Je te connaissais avant même de t'avoir formé dans le ventre de ta mère ;je t'avais mis à part pour me servir avant même que tu sois né .Et je t'avais destiné à être mon porte-parole auprès des nations. » 6 Je répondis : « Hélas ! Seigneur Dieu, je suis trop jeune pour parler en public. »
7 Mais le Seigneur me répliqua : « Ne dis pas que tu es trop jeune ;tu devras aller voir tous ceux à qui je t'enverrai,et leur dire tout ce que je t'ordonnerai. 8 N'aie pas peur d'eux,car je suis avec toi pour te délivrer. »
Voilà ce que le Seigneur me déclara.
« Trop jeune Seigneur, je suis trop jeune ! » Pendant 4 chapitres, Dieu essaye de convaincre Jérémie et ce dernier écoute sans dire un mot. Lorsqu’enfin il ouvre la bouche, il dira cette phrase magnifique et profonde: « J’ai mal au ventre !»
C’est à cause de sa réponse que ce Jérémie peut nous paraître sympathique, il est un peu comme nous lorsque nous sommes devant un choix important, lorsque nous décidons de nous engager dans quelque chose de neuf, d’inconnu,… peut-être même quelque chose de fou parfois !
Imaginer notre paroisse encore plus dynamique demain, ou qu’elle reste comme cela, avec un même enthousiasme, une même envie de proposer des événements fédérateurs au nom du Christ Jésus, imaginer transformer cette église pour en faire un écrin encore plus accueillant, plus adapté encore à la dimension culturelle... Amovible, modulable, moderne… Voilà une idée qui pourra être considérée par certains comme une folie. J’aime bien les fous !! En tout cas, vous l’aurez senti, mon enthousiasme est demeuré intact, même après 10 années de ministère parmi vous.
Cette histoire de Jérémie nous dit une vérité, et pas des moindres, le genre de vérité qui pourra rassurer aussi les plus craintifs, les plus hésitants, peut-être aussi les plus conservateurs, ceux qui ont peur du changement. Là voilà cette vérité biblique : le premier à se lancer, ce n'est pas l’homme. C’est toujours et d’abord Dieu qui vient à nous. L’engagement vient d’abord de Dieu.
L’engagement, c’est d’abord d’une parole donnée. ///
Quelques chapitres plus loin, Dieu demande à Jérémie de mettre une ceinture de lin autour de sa taille. Dieu fournit la ceinture, mais c'est à Jérémie qu’il revient de l’attacher.
Cette histoire de ceinture me fait penser à celles de nos voitures. Les ceintures de sécurité. Elles sont là, il y en a une pour chacun des passagers, mais c’est à nous de la mettre.
Cette ceinture, elle est individuelle. On la met sur une seule personne. Une ceinture qui entoure plusieurs personnes, ce n’est plus une ceinture ! Ca s'appelle un.... filet. Et la ceinture, on ne la met pas autour des pieds : sinon elle nous enchaînerait. Ni autour des poignets, sinon ce serait comme des menottes. Ni autour du cou sinon on étouffe. Elle peut seulement se mettre autour des reins, autrement dit : elle entoure la personne toute entière.
Lorsqu’on s’engage quelque part, pour distribuer la Lettre paroissiale, à la maison de retraite, au foyer Oberlin, au conseil presbytéral, dans la sphère des chiffres ou des bâtiments, auprès des anciens, auprès des plus jeunes, on s’engage en entier, de tout notre être, corps et âme. Ca peut –être difficile : quelque fois, usant. : Il y a des engagements qui nous vont bien; II y a des engagements qui ne nous vont pas ; il y a des engagements taillés sur mesure - ils nous vont tellement bien que nous oublions parfois que nous les portons.
Un engagement doit pourtant toujours être réfléchi et doit pouvoir se renouveler. Un peu comme en amour. Parce qu'il n'y a rien d'acquis une fois pour toutes - il n’y a rien de définitif tant que nous sommes vivants.
Alors, au final, c'est vachement simple : si nous aimons nos engagements, tout est possible, pour aujourd’hui et aussi pour demain.
Avec l’aide et la grâce de Dieu.
Amen
CHANT : Je crois en toi AEC 566, 1+2
Annonces et offrande (dans les bancs)
Prière par les enfants du Club et intercession:
Reste avec nous, Seigneur, pour nous encourager et pour nous montrer le chemin.
Dans nos rencontres, fais-nous sentir ta présence et aide-nous à être une communauté en ton nom. Sois avec nos enfants, nos jeunes qui veulent te découvrir, Sois avec nous tous qui sommes à la recherche de la foi et qui voulons être des témoins en ton nom.
Fais-nous découvrir des paroles et des événements qui nous font grandir et évoluer.
Montre-nous comment nous pouvons être une aide pour les autres et fais-nous comprendre que l’autre est une aide pour chacun de nous.
Seigneur, aide-nous à ce que notre engagement reflète ta lumière et ta gloire dans notre quotidien.
Notre Père qui es aux cieux AEC 182 orgue
Envoi (DEBOUT)
Ne vis pas sur cette terre à la façon d’un locataire,
vis dans ce monde comme si c’était la maison de ton Père.
Sens la tristesse de la branche qui se dessèche,
de la planète qui s’éteint,.
Mais avant tout la tristesse de l’homme!
Ne reste pas un spectateur passif derrière son écran,
Ose bouger, sortir, rencontrer les gens de la vraie vie !
Que les biens terrestres te donnent de la joie,
Que l’ombre et le soleil te donnent de la joie,
Que les quatre saisons te donnent de la joie,
Mais avant tout que l’homme te donne de la joie!
CHANT AEC 532 Tu nous appelles à t’aimer 1+4 orgue
Bénédiction :
Que le Dieu trois fois saint te bénisse et te garde, aujourd’hui, demain et à jamais! AMEN
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