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Panier garni du 7 juillet: vivre du baptême

6ème dimanche après la Trinité – Foyer Oberlin, 10h



 

Prélude à l’orgue

Accueil : Que la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu le Père et la communion du Saint Esprit soient avec vous tous.

Le Thème de ce 6ème dimanche du temps de la Trinité, nous invite à « vivre du baptême ». Et le mot d’ordre nous redit cette bonne parole que Dieu a prononcée sur notre vie au moment de notre baptême : « Ne crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi. » Esaïe 43, 1

Craindre quelqu’un ou quelque chose, on le pourrait, et cela pour mille raisons et motifs différents. Craindre pour l’avenir, pour les résultats du second tour ce soir, peur d’un nouveau départ, d’une nouvelle ère, craindre avant un voyage ou devant la maladie, on le pourrait ! Réécoutons alors cette parole de vie, de fortification, qui nous fait du bien à nous tous : « Ne crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi. »

Que cette parole nous donne à tous, dès le début de ce culte de la sérénité, de la force et de la joie ! Amen.

Et cette joie, cette reconnaissance, nous voulons la chanter :

 

CHANT ASSEMBLEE : AEC 562, 1-3 Nos cœurs pleins de reconnaissance

 

LOUANGE: Psaume 139 (en alternance)

 

P : Tu me scrutes, Seigneur et tu sais,            

                                 A : Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève

 

P : Longtemps d’avance, tu connais mes pensées.    

                                             A : Que je marche ou me repose, tu le vois,

 

P : Tous mes chemins te sont familiers.         

        

           A : Avant qu’un mot ne parvienne à mes lèvres, tu le sais déjà

 

P : Tu me devances et me poursuis,               

                                                              A : tu poses ta main sur moi.

 

P : Où donc aller, loin de ton souffle ?          

                                                   A : où m’enfuir, loin de ta présence ?

 

P Si je monte au ciel, tu es là ;                       

                                                 A : si je descends chez les morts, te voici.

 

P : Même là, ta main me conduit,                 

                                                   A : même là, ta main droite me saisit.

P : Déjà, lorsque tu me façonnais

                              A : et me tissais dans les entrailles de ma mère,

 

       Tous : Je n’avais pas de secret pour toi. Amen !

                                    

Répons : Louons l’Eternel, acclamons-le en chantant à la gloire du Dieu Père, Fils et Saint-Esprit CHANT Père je t’adore Rec Alléluia 41-37

 

Pénitence:

 O Dieu, toi qui nous as aimés le premier, nous parlons de toi comme si ce n’était qu’une seule fois, dans le passé, que tu nous as aimés le premier. Pour beaucoup, ton amour s’est manifesté et s’est arrêté le jour du baptême, lorsque nous étions encore des enfants qui n’ont pas saisi eux-mêmes la promesse qu’il contient. Surtout si personne ne leur a expliqué par la suite.

 

En réalité, c’est tout au long de notre vie, que tu nous aimes le premier.

Quand nous nous éveillons le matin et que nous nous tournons vers toi, tu nous devances, tu nous as aimés le premier.

Même si je me lève avant l’aube et fais monter vers toi ma prière, tu me devances, tu m’as aimé le premier.

Quand j’écarte ce qui me distrait, me fait rire ou m’inquiète et que je me recueille pour penser à toi, tu es encore le premier.

Pardonne-nous ô Dieu, notre ingratitude : ce n’est pas une seule fois, mais c’est à chaque instant de notre vie que tu nous aimes le premier. Pardonne-nous de ne pas assez prendre le temps de réfléchir à notre relation à toi, et en particulier à notre baptême en Ton Nom.

 

Répons : Même en chantant… Mélodie M Fugain, Je n’aurais pas le temps

(uniquement le refrain ! mélodie à l’orgue une première fois)

 

Même en courant plus vite que le vent, plus vite que le temps;

Même en courant je ne prends pas le temps, pas le temps

De te parler, de te faire monter  Mon humble prière

Vois ton enfant  qui ne prend pas le temps  de le faire!

 

Grâce : Dieu vous a donc aimé le premier ! Le baptême en est le premier signe. Paul le déclare dans sa lettre aux Galates :

« Vous êtes tous par la foi, fils et filles de Dieu en Jésus Christ. En effet, vous tous qui avez reçu le baptême du Christ, vous avez revêtu le Christ.  Galates 3, 26-27

C’est pourquoi réjouissez-vous et vivez, les uns avec les autres, de l’amour que Dieu verse en vous par son Esprit

Répons : Quand les montagnes  AEC 167

Poursuivons et prions avant de recevoir la Parole de ce dimanche:

Par le baptême, Seigneur, tu nous as offert l’amour et la vie en abondance. Nous t’en prions, accorde-nous de discerner dans notre vie les signes de ton amour et fais-nous la grâce de pouvoir rester fidèles à cette alliance d’amour et de vie.

Nous te le demandons, par Jésus Christ ton fils unique, notre Seigneur. Amen

 

 

Lecture AT : livre du prophète Esaïe chapitre 43, versets1-5

« N'aie pas peur, je t'ai libéré, je t'ai appelé par ton nom, tu m'appartiens. 2 Quand tu traverseras l'eau, je serai avec toi ; quand tu franchiras les fleuves, tu ne t'y noieras pas. Quand tu passeras à travers le feu, tu ne t'y brûleras pas, les flammes ne t'atteindront pas. 3 Car moi, le Seigneur, je suis ton Dieu, moi, l'unique vrai Dieu, je suis ton Sauveur.

4 C'est que tu as du prix à mes yeux, tu comptes beaucoup pour moi et je t'aime. 5 N'aie pas peur, je suis avec toi.

Répons Alléluia

 

 

Lecture de l’Evangile : Matthieu chapitre 28, versets 16-20 

16 Les onze disciples se rendirent en Galilée, sur la colline que Jésus leur avait indiquée. 17 Quand ils le virent, ils l'adorèrent ; certains d'entre eux, pourtant, eurent des doutes. 18 Jésus s'approcha et leur dit : « Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. 19 Allez donc auprès des gens de toutes les nations et faites d'eux mes disciples ; baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, 20 et enseignez-leur à pratiquer tout ce que je vous ai commandé. Et sachez-le : je vais être avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. »

 

CHANT ASSEMBLEE AEC 566, 3 strophes Je crois en toi

 

Message 

En alsacien, il y a une belle expression qui dit « dobbelt genaït hebbt besser ! ». En traduction littérale : doublement cousu tient mieux !

L’art de la consolidation, par la répétition par exemple en pédagogie, pour asseoir une connaissance, une compréhension.

Le texte du jour, nous allons donc le manipuler 2 fois : une première lecture qui sollicitera les oreilles, puis une seconde fois en nous aidant de nos bouches et de nos yeux !

Ce n’est pas tous les dimanches que l’on peut chanter la Parole en parodiant Brassens, mais ça comme dit, ce sera pour plus tard !

Lecture Actes 8, 26-40

 

C’est un récit curieux mais important : celui du premier baptême individuel.  Il y en a d’autres dans la Bible : le fameux jour de la Pentecôte où il y a eu 3000 baptêmes, Actes 2. Bien sûr le baptême de Jésus au Jourdain par le Baptiste…

Et ce matin, donc, le premier baptême individuel, par Philippe, un apôtre.

On peut être étonné de l’identité du baptisé,  un personnage très atypique : un eunuque éthiopien. Dans la Bible, vous le savez,  chaque curiosité cache évidemment un message important !

 

Le lieu de la rencontre entre Philippe et cet eunuque, c’était sur ce qu’on appelle aujourd’hui la bande de Gaza. « Sur la route qui va de Jérusalem à Gaza », dit le texte. Depuis presque 70 ans, on parle de Gaza tous les jours aux infos, c’est là-bas qu’Israéliens et Palestiniens se combattent encore et toujours. On les a un peu oubliés nos frères d’Israël et de Palestine, tout comme les Ukrainiens et les Russes ; bien sûr, l’actualité politique nationale nous fait toujours retomber dans ce que j’appelle la solidarité circonstancielle éphémère : on pense à l’autre, surtout au début, après on oublie, on a d’autres préoccupations… On a tous un nombril, moi aussi, c’est comme ça ! Et ce soir, on sera sans doute dans l’attente des résultats du second tour des élections !

 

En attendant, notre baptisé du jour : un eunuque ! Un jour, j’avais un urologue comme paroissien ; en sortant du culte, il me demande si notre éthiopien du livre des Actes dont on parle ce matin avait subi une orchidectomie (comprenez ablation des testicules) ou plutôt une pénectomie ( je crois que le terme nous explique bien de quoi il s’agit)… Bonne question, docteur, merci de l’avoir posée ;  le texte ne le dit pas : ce n’est peut-être pas le plus important. Dans la Bible, l’eunuque, c’est surtout l’incarnation de la fiabilité, et des responsabilités.

Les princes d’Orient avaient évidement tous compris le parti qu’ils pouvaient tirer d’une telle situation , et ils ne prenaient que des eunuques pour garder leur harem. « Mieux vaut prévenir que guérir ».

 

Notre homme du texte, lui, il était au service d’une femme exceptionnelle, la reine d’Ethiopie! Son prénom : Candace…En fait ce n’est pas son prénom : c’est son titre, Candace, ça veut dire « mère du roi des Kouchis, les éthiopiens.  Sans doute avait-il beaucoup de qualités en plus (+) d’être eunuque, puisqu’il était un haut-fonctionnaire des finances du royaume.

Un peu le Bruno Lemaire d’à l’époque en Ethiopie….

 

L’Ethiopie, c’est ce pays africain dans lequel on trouve des juifs qui sont les descendants des amours du roi Salomon et de la reine de Saba. Le beau film Va ; vis et deviens rappelle cette histoire, et la façon dont Israël avait rapatrié ces « frères juifs noirs » lors de la famine au début des années 1980. L’opération Moïse, orchestrée par le Mossad ; une histoire vraie !

 

Notre texte ne précise pas si notre homme est eunuque de naissance, ou s’il s’est mutilé en vue de trouver du boulot. Ce qui est sûr, dans les 2 cas, c’est qu’il est exclu de la religion juive.

Car chez les juifs, le signe de l’appartenance au peuple d’Israël, c’est la circoncision ; il est difficile de circoncire quelque chose qui n’existe pas. Elémentaire, mon cher Watson…

Je pense  que notre homme devait souffrir de cette situation.

J’en déduis qu’il devait être un fervent croyant juif !

Car s’il ne l’était pas, il n’irait pas en pèlerinage à Jérusalem, la Ville Sainte. Il ne possèderait pas le manuscrit du livre du prophète Esaïe.

 

Mais justement, avec Esaïe, il est tombé sur la bonne parole et cela va conduire cet homme frustré, insatisfait, exclu de la religion de ses paires sur le chemin de la foi en Christ.

En voulant s’approcher du judaïsme, il rencontrera finalement le Christ. Une religion qui n’exclut personne du Salut et surtout pas ceux qui en ont le plus besoin : les plus petits de nos frères, les handicapés, les boiteux, les malades, les cassés de la vie. Et qui acceptent évidemment les satisfaits, les bienheureux, les riches en dons et en prospérité, les gens en excellente santé… Vous et moi…

 

Les prophètes de l’Ancien Testament n’étaient pas satisfaits de la Loi de leur temps. Ils sentaient qu’il fallait aller plus loin que la loi de Moïse et de toutes ces lois qui éloignent un peu plus Dieu du croyant.

Esaïe avec d’autres, a été de ceux qui ont milité pour une pratique religieuse plus basée sur la liberté et la responsabilité que sur l’application stricte des 613 commandements de la Torah…

 Jésus a dit : « Je ne suis pas venu d’abord pour les biens portants, mais pour les malades. » On pourrait donner l’exemple de ces églises actuelles qui sont légalistes, parce qu’elles prennent l’Ecriture et surtout les dogmes pour la volonté de Dieu : on refusera ainsi de célébrer des obsèques parce que le défunt, enfant ou adulte, n’est pas baptisé. On refusera la bénédiction à un couple de même sexe, ou encore de ces religions qui prêchent le Salut gratuit en Christ et qui fixent des tarifs pour entrer « dans le club »…

 

Dans de pareils cas, où est  la tolérance, l’ouverture, la solidarité, le partage, la compassion dont la Bible dit pourtant qu’ils sont des fruits de l’Esprit ?

 

Des communautés qui savent plus facilement exclure qu’accueillir, c’est sans doute une réalité qui doit nous garder vigilants.

Jésus a prêché le Royaume, et c’est l’Eglise qui est arrivé ! On connait la formule…

Jésus ira même plus loin et retournera la chose dans sa parabole des invités au Royaume.  Les premiers invités, Israël trouvent toutes sortes d’excuses pour ne pas répondre à l’invitation du Seigneur. Mais la fête ne sera pas annulée, le maître invitera tous les laissés pour compte de la société, les boiteux, les miséreux, les simples, les malheureux de toute condition.  Eux vont goûter aux délices du Royaume de Dieu.  Les premiers qui ont été invités en seront exclus !

Notre eunuque fait partie des nouveaux arrivants…

 

Le message du christianisme s’est imposé au cours des siècles à notre société. Pas aussi vite qu’on l’aurait souhaité, sans doute et évidemment que nous sommes encore loin du compte. Il y a quelques temps, le Sonnenhof, fondation protestante accueillant des personnes en situation de handicap, posait la première pierre d’une chaufferie écologique biomasse. Tous les orateurs parmi les huiles essentielles de la politique locale et nationale vantaient les mérites et l’assise bien ancrée de cette belle institution chrétienne protestante. C’est oublier un peu vite combien les débuts pour ces maisons pour personnes différentes, comme on le dit pudiquement, ont été difficiles. Combien il a fallu se battre pour être soutenu !

 Mais aujourd’hui l’Etat, la société semble prendre conscience qu’il n’est pas digne de l’ « humanité vraie » de laisser de côté les plus petits de nos frères… On espère que le prochain gouvernement aura à cœur de garder un peu d’humanisme au milieu de leurs programmes pour le moins clivants !

 

Notre eunuque était entrain de lire un extrait du prophète Esaïe. Philippe lui dit : « Comprends-tu ce que tu lis ? »  Et bien non !

Et Philippe va prendre du temps, se mettre à sa hauteur, expliquer la Parole. Et c’est cette attitude, cet accompagnement qui vont faire la différence… Prendre du temps, se mettre au même niveau que les novices, faire preuve de pédagogie, accompagner sans jugement, c’est sans doute là le cœur de la mission de l’Eglise, et par extension celle des pasteurs. Malheureusement, on préfère souvent prendre les autres de haut, mépriser les petits, mettre de la distance… Dommage…

Alors, nous allons joindre l’utile à l’agréable, et reprendre notre texte du jour, même mieux nous l’approprier !

Avec des paroles d’un chant bien connu… Mélodie des Copains d’abord !

Un éthiopien, un type très bien

S’pointait en Rolls sur le chemin

Lisait la Bible, ne pigeait rien,

Non ne pigeait rien…

Derrière un coin tombe sur un gars

Que Dieu avait expédié là,

Pour faire du stop il s’arrêta,

Oui, il s’arrêta…

Veux-tu monter, peux-tu m’aider,

J’lis Esaïe, c’est compliqué,

Je n’ai personne pour m’expliquer,

Oui pour m’expliquer…

Y a un agneau, y a un mouton,

Un matraqué, un type qu’on tond,

Qu’on exécute sans façon,

De qui parle t’on ?

Philippe lui explique Esaïe

Et lui raconte Jésus-Christ,

« La Bonne Nouvelle a jailli,

Oui elle est ici… »

« Qu’est ce qui empêche maintenant

Puisque je crois Jésus vivant

Que tu me baptises sur le champ

Là dedans l’étang ? »

Un éthiopien, sur le chemin

lisait la Bible, s’en trouvait bien,

content, joyeux, heureux tout plein,

Oui heureux tout plein…

La Bonne Nouvelle qu’il a chantée

Jusqu’en Afrique s’en est allée,

Partout Jésus est annoncé,

Tu peux l’rencontrer !

 

L’expérience de cet eunuque au moment de son baptême, c’est la grande expérience que nous a offert aussi notre propre baptême.

 

Vivons donc en baptisés, comportons-nous donc en baptisés, espérons en baptisés….     AMEN.

 

Proclamation de foi (en commun ) : PWP

 

Confessons notre foi en Dieu Père, Fils et Saint Esprit en nous rappelant devant lui le sens de notre baptême :

 

J’ai été baptisé au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit,

Non pas du baptême de Jean, signe et rappel d’une décision d’homme,

Mais de celui, donné et ordonné par le Christ,

Attestation et mise en œuvre de l’action de Dieu.

 

J’ai été baptisé : je suis plongé en Dieu.

Son amour s’est ouvert et refermé sur moi.

Il s’est engagé. Il m’a dit : ne crains pas, je t’ai sauvé, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi.

C’est ma certitude quand je doute de moi-même.

C’est ma chance et ma possibilité quand je me suis égaré.

 

J’ai été baptisé : je suis plongé en Dieu.

Son amour ne cesse d’être pour moi un bain.

« Hier » ne colle plus à ma peau.

 

J’ai été baptisé : je suis plongé en Dieu. Son amour ne cesse de me faire passer à la vie à travers toutes mes morts.

J’ai un avenir.

 

Par le baptême, j’ai reçu ma place  dans une communauté de vie dans laquelle il m’a intégré.

Membre d’un corps, me voilà même utile à d’autres.

 

J’ai été baptisé. Un jour…

A vrai dire : je suis baptisé depuis ce jour.

Ma vie entière est un baptême. Amen.

 

CHANT : Louange et gloire à ton nom AEC 271, 3 strophes


 

Prière d’intercession: Aujourd'hui, notre Dieu Seigneur, tu nous redis le nom qui est notre fierté : baptisés !

Car à notre baptême tu nous as tendu la main, comme un geste de tendresse, et tu nous as pris auprès de toi, dans ta famille, comme des enfants de pleins droits.

Baptisés :c'est le nom qui est notre espérance, car à notre baptême tu as promis de ne jamais nous abandonner à la détresse, à la crainte, aux brouillards de solitude, et nous croyons que toi, notre Père à tous, tu tiens toujours ses promesses !

Baptisés :c'est le nom de notre foi, car à notre baptême tu nous as appelés par amour, acceptant avec joie de nous laisser inspirer par ton Esprit pour prendre le chemin de l'Évangile avec ton Fils.

Seigneur, en ce jour, nous te recommandons tous les baptisés de la planète, tous les chrétiens de ce monde, de cette ville, ceux qui en ont la charge. Nous te prions pour cette famille paroissiale, ici à Lingolsheim, pour notre Consistoire et notre Eglise, et pour son avenir.

Merci pour tout ce qui aura pu y être vécu et pour les projets qui nous animent encore !

Reçois aussi nos demandes personnelles, nos joies, nos peines,…

Notre Père

 

 

CHANT ASSEMBLEE AEC 882 Que la grâce de Dieu

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