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Panier garni du 6 novembre: "vogue en paix"

Culte de famille anté-pénultième dimanche 2022

6 novembre 2022 « Vogue en paix ! »



Prélude à l’orgue

Accueil : La grâce et la paix vous sont données de la part de Dieu notre Père et de Jésus-Christ, notre Sauveur.

Bienvenue à vous pour ce dimanche. C’est une joie de nous retrouver pour le

culte de familles ce matin !

Le thème de ce matin : « Vogue en paix » en lien avec le thème proposé pour cet avant avant dernier dimanche avant l’entrée en Avent. Une année d’Eglise se termine doucement…

La paix, c’est le thème de ce dimanche. Le mot d’ordre nous dit : « Herueux ceux qui font œuvre de paix, ils seront appelés fils de Dieu » ; une des 9 béatitudes du Christ sur le sermon sur la montagne.

Vogue en paix : nous descendrons de la montagne pour aller un peu sur l’eau et naviguer, avec le récit de la tempête apaisée, et l’histoire de Noé sortant de l’Arche après le déluge. C’était aussi le thème au Club du dimanche.


CHANT: La paix de Dieu ( accordéon)



LOUANGE : Prions avec le psalmiste :psaume 85

P : Seigneur notre Dieu, tu es très grand, tu es digne de louange !

A : Tu as fait beaucoup de choses, Seigneur, tu les as toutes faites avec sagesse.

P : Le Seigneur a fait la lune pour marquer le temps,

A : Et le soleil qui connaît l’heure de son coucher.

P : Les gens sortent de leur maison pour aller au travail et se fatiguer jusqu’au soir.

A : Tous comptent sur toi pour avoir à manger au bon moment.

P : Tu leur donnes la nourriture, ils la prennent,

A : Ouvre la main, ils mangent à leur faim.

P : Tu caches ton visage, ils ont très peur.

A : Tu leur enlèves le souffle de la vie,

P : Ils meurent et redeviennent poussière.

A : Tu leur rends ton souffle, ils sont recréés, et tout devient nouveau sur le sol.

P : Que la gloire du Seigneur dure toujours, que le Seigneur se réjouisse de ce qu’il a fait !


Répons : Je me confie en toi AEC 154, 1+2


PENITENCE

Vogue en paix : un souhait de bénédiction pour celui qui prenait le large, au moment du départ du bateau pour de longues semaines, ou même des mois.

Quitter la terre ferme, c’était aussi multiplier les risques : tempête en mer, attaques des pirates, maladies à bord, naufrage…

Dans nos vies et dans le monde, il y a aussi la tempête, les attaques, la maladie, les naufrages… nous avons du mal à trouver la paix, à vivre en paix les uns avec les autres.

Pardonne-nous lorsque nous remettons à demain le temps du partage, de la réconciliation avec Toi et avec les autres ; lorsque nous ne savons pas profiter pas des moments que tu nous offres pour regarder la nature, les hommes, nos enfants, nos parents, ceux qui partagent notre humanité…

Pardonne-nous à chaque fois que nous remettons à demain nos souhaits de paix et d’engagement envers les plus petits de ce monde.


Pour toutes les fois où nous n’avons pas entendu ton appel « C’est maintenant que vous devez agir comme des enfants de Dieu » pardonne-nous, Seigneur, au nom de Jésus-Christ. Que le vent de ton Esprit souffle aussi pour notre barque, que nous tenions bons la barre et ce vent, que nous ne fassions pas naufrage en nous éloignant de toi.

Amen.


Répons je n’aurai pas le temps ( M Fugain mélodie à l’orgue)


Même en courant plus vite que le vent, plus vite que le temps;

Même en volant je ne prends pas le temps, pas le temps

De te parler, de te faire monter

Mon humble prière

Vois ton enfant

qui ne prend pas le temps

de le faire!




Grâce : Mesure de la vitesse des bateaux ? en nœuds !

Un vieux rabbin racontait: chacun de nous est relié à Dieu par un fil. Et lorsqu’on commet une faute, le fil est cassé. Mais lorsqu’on regrette sa faute, Dieu fait un noeud au fil. Du coup, le fil est plus court qu’avant. Et le pécheur est un peu plus près de Dieu ! Ainsi, de faute en repentir, de noeud en noeud, nous nous rapprochons de Dieu. Finalement, chacun de nos péchés est l’occasion de raccourcir d’un cran la corde à noeuds et d’arriver plus vite près du coeur de Dieu. Tout est grâce ! Même les péchés.


Unissons-nous pour chanter notre reconnaissance à ce Dieu dont l’Amour est Lumière !


Répons : L’amour du Seigneur est lumière rec Alléluia 48-09, refrain, 1 strophe, refrain


Confession de la foi


Nous ne sommes pas seuls ;

nous vivons dans le monde de Dieu.

Nous croyons en Dieu qui a créé

et qui crée toujours,

Nous croyons qu'il est venu en Jésus

pour réconcilier et renouveler.

Nous avons foi en Dieu qui nous

appelle à être son Eglise, son bateau,

dans lequel nous sommes invités à aimer et à servir les autres.

Jésus le Christ crucifié et ressuscité,

En est le capitaine bienveillant.

Dans toutes nos tempêtes, Il est avec nous. Amen.



Engagements des parents


Lectures de la Bible

1) Genèse 8, 1-12 + alléluia du AEC 181 (en entier sur « Alléluia » seulement)

2) Marc 4, 35-41+ louange à toi ô Christ


CHANT : Notre barque est en danger rec Alléluia 47.02 ,3 strophes


Message


Message culte de famille, « Vogue en paix »

En préparant le culte de ce matin, comme souvent, je me suis rappelé de mon verset de confirmation, tiré de l’histoire de la tempête apaisée. Qui dit apaisement, évoque l’idée d’une sérénité, d’une paix retrouvée. Après la ou les tempêtes justement.

Ce mois de novembre est par excellence le mois du souvenir, de la commémoration, littéralement du « faire mémoire ensemble ».

Au début du mois, la foule se rend dans les cimetières pour fleurir les tombes, honorer les défunts. La première civilisation, le concept d’humanité est né au moment où les vivants ont commencé à prendre soin des morts. La Toussaint, le 1er novembre, le 2 novembre, c’est le jour des défunts… ce vendredi 11 novembre, l’Europe et la France en particulier se souviendront des morts de la Grande Guerre, 14-18, qui devait être la Der des Ders… Ce n’est pas sur un bateau que l’armistice a été signé, mais dans un wagon, à Retondes. Nos cours d’Histoire nous l’auront appris. L’Europe allait retrouver la paix… elle voguera en paix pendant 21 ans, jusqu’en 1939, début de la Seconde Guerre.

L’Europe est toujours en guerre, on l’a peut-être oublié. Quelques mois auront suffi à éloigner nos cœurs de l’Ukraine et de la Russie, on en a pris l’habitude, ça n’intéresse plus vraiment grand monde. Pourtant, souvenons-nous de tous ces élans de solidarité qui étaient nés ici et là… qu’en restent-ils ?

Je me le suis rappelé brutalement lorsqu’une dame m’avait demandé pas plus tard que vendredi au stammtisch : « est-ce que la paroisse fait quelque chose pour l’Ukraine pour ce Noël, du type une collecte de jouets ? J’ai été bien incapable de lui répondre… mais pourquoi pas ! Quitte à distribuer des jouets aux réfugiés ukrainiens qui ont été accueillis pas loin de chez nous. Mais vous voyez, on oublie… nous ne vivons pas la guerre sous nos yeux et dans nos tripes, alors on a tendance à l’oublier. Malgré un premier temps où le choc nous fait bouger, et l’entraide spontanée qui en découle, nous zappons par la suite. Des spécialistes en psychologie appellent cela « l’étrange temporalité de l’entraide ».

Partout, tous les jours, les images se suivent et se ressemblent : malheurs, catastrophes et guerres se succèdent, invariablement.

Et après le choc et le temps de l’horreur, dans un second temps, vient souvent le temps de l’entraide. Et après ce temps de la mobilisation, revient le temps du presque-normal, du train-train, de l’oubli, …

Certains évoquent cette réalité en parlant de « l’étrange temporalité de l’entraide ».


Pas besoin d’organiser des convois vers l’Ukraine ou vers le Centre Social Protestant pour expérimenter cela.

Imaginez : dans la rue, un humain, un de ces fragiles, s’effondre. Autour de lui, des gens se précipitent ; l’heure n’est pas à la réflexion sur les inégalités que la société engendre. Il s’agit de faire face à l’urgence et de prodiguer une aide, comme nous y invite par exemple la parabole du bon Samaritain qui fait parler son cœur plutôt que sa tête.

Les secours sont appelés, le blessé de la rue est soigné, une équipe médicale assure sa prise en charge. Lorsqu’il sort de l’hôpital, notre « héros » retrouvera pourtant le même environnement, la rue, les passants mais sans être le centre de l’attention ; les regards se détournent, la vie reprend son cours, le sentiment d’altérité a disparu.


Devant les situations dramatiques, révoltantes, l’entraide est autant immédiate qu’efficace. Mais dès lors que la misère devient chronique, lorsqu’elle s’inscrit dans la durée et dans notre paysage usuel, alors qu’elle n’est pourtant pas moins dramatique, l’entraide perdra de sa nécessité. Un phénomène fréquent, habituel, que nous avons certainement tous expérimentés.


Selon une étude, 99% des financements liés à la médecine sont affectés aux soins urgents (cancers, infections, maladies génétiques, …) et seulement 1% des financements va à la prévention. L’adage rappellera que prévenir, c’est guérir ! C’est la prévention qui limite aujourd’hui les maladies qui seront demain considérées comme urgentes. Et rappelons aussi que les conditions sociales et maladies sont liées, une corrélation qui suscite un intérêt limité.


L’entraide sauve, mais ne prévient pas. Le cortex cérébral ne se mobilise qu’en fonction de l’urgence. Si l’humanité n’avait réagi que de cette façon, elle aurait disparu. C’est parce qu’elle a pris soin des vulnérables, au-delà de l’urgence, qu’elle a survécu. Ce matin, nous pensons à cela ; au fait de ne pas oublier.

A propos de penser, j’aimerai dire quelques mots autour du texte de la Genèse avec Noé. Il commence avec ces mots, nous les avons entendu tout-à-l’heure : « Puis Dieu pensa à Noé…et il fit souffler un vent sur la terre et le niveau de l’eau baissa ».

La catastrophe, le déluge est maintenant passé, Dieu merci ! Après 40 jours et 40 nuits de pluie incessante, le niveau de l’eau commence enfin à baisser. Ca devait ressembler en un immense désert, avec à la place du sable, des montagnes d’eau qui étaient là pendant 150 jours (5 mois). On imagine les conséquences d’un tel déluge : la Bible même nous les rappelle : Genèse 7, 22 : « Tout ce qui possédait un souffle sur la terre était mort ». Sauf Noé, sa famille et les animaux qui avaient trouvé refuge dans l’Arche, en obéissant à Dieu. Dans cette arche, on imagine aussi que ça ne devait pas sentir la rose, 150 mètres de long et 15 mètres de haut, on devait être à l’étroit ! En plus de l’odeur, y avait le bruit des animaux qui avaient certainement tout aussi peur que les humains : ça caquetait, meuglait, aboyait, rugissait, les singes criaient et les éléphants barrissaient ! Oui, c’est comme ça qu’on dit !

Et puis, après la peur,…le silence ! Et le niveau de l’eau qui commence à baisser ! La lumière du soleil revient et un souffle frais se fait sentir…

Noé n’est pas encore tout-à-fait rassuré pourtant : peut-il croire à ce sentiment de paix et sérénité qui semble revenir ?? Confiant, non, il ne l’est pas à 100%. Il attend 40 jours et que fait-il alors? Il envoie un corbeau. Le corbeau n’est pas fait pour voler très longtemps. Il revient donc sur l’arche…Vexé d’avoir été choisi pour cette corvée, (corbeau et corvée ont d’ailleurs la même racine), le corbeau ne dira rien à son retour sur l’arche. Noé n’en saura pas plus…Oiseau maudit que ce corbeau ! Noé choisira ensuite une colombe, symbole de paix, de pureté, d’honnêteté. La colombe, elle, sait faire de grandes distances, elle peut voler jusqu’à 500 km. Elle revient, toujours rien ! Au bout d’une semaine, elle repart et revient avec une brindille d’olivier : ça y est, les plantes repoussent, l’eau est partie, la terre s’est asséchée, la vie est revenue !!

« Dieu pensa à Noé…et il fit souffler un vent sur la terre et le niveau de l’eau baissa ». Cette histoire, ce beau conte poétique nous parle à la fois de souffrance, de choses dures et d’espérance. C’est une catastrophe qui se termine bien ! Dans beaucoup de cultures et de civilisations antiques, de telles histoires existent, avec cette morale finale : une vie nouvelle est possible !

Des déluges, des inondations, des séismes naturels et des catastrophes plus intimes qui nous touchent dans nos vies personnelles, nous en avons connu.

« Dieu pensa à Noé…et il fit souffler un vent sur la terre et le niveau de l’eau baissa ». Chers amis, ce texte nous redit une vérité simple : il y a une vie possible après la catastrophe. Dans notre texte de la Genèse, c’est Dieu qui est à l’origine du déluge. Il la déclenche mais il y met fin aussi, lui-même ! Dieu en est l’initiateur, mais aussi à la conclusion.

« Dieu pensa à Noé…et il fit souffler un vent sur la terre et le niveau de l’eau baissa ». Dieu rajoute à la Parole le faire, il joint l’action au verbe. C’est l’image d’un Dieu agissant qui nous est renvoyée par le récit de l’arche de Noé, tout comme dans l’Evangile de la tempête apaisée.

Je termine en vous parlant d’un radeau, celui utilisé par un rescapé d’un crash d’avion laissé pour mort sur une île déserte…Il en aura construit des radeaux de fortune, bu la tasse à plusieurs reprises ; il a failli se noyer devant les vagues qui semblaient insurmontables…Et à force de persévérance, au bout de 3 ans, il est revenu à la vie. Le film « Seul au monde », avec Tom Hanks, une histoire vraie, est comme l’histoire de Noé, un véritable témoignage d’espoir. Nous sommes appelés à vivre et à nous battre, contre vents et marées. Que notre cœur ne se trouble, et ne s’alarme pas, ni sur la mer, ni sur la terre ferme, ni même dans le ciel ! Amen


Interlude musical à l’orgue


CHANT : Mon ancre et ma voile 2 strophes JEM


Annonces



Prière d’intercession :

Dieu Notre Père,

Nous te rendons grâce pour ce temps de louange, et d’écoute de ta Parole, que tu nous as donné de vivre.

Béni sois-tu pour ta Parole qui renouvelle notre foi et notre espérance. Elle est Bonne Nouvelle dans l’actualité de nos vies.

Nous confions à ta miséricorde nos frères et sœurs qui souffrent dans leur corps ou leur esprit, sois pour eux source de paix intérieure et force nouvelle.

Nous te confions celles et ceux qui sont sans espérance, touchés par la pauvreté, le chômage, les épreuves des jours, sois pour eux source d’avenir placé dans la lumière.

Nous te confions notre communauté - guide la et bénis son témoignage.


Nous te confions nos dirigeants et les chefs des nations, inspire leur des paroles et des projets source de réconciliation, de solidarité et de paix entre les peuples.


A toi, Notre Père, qui peut au-delà de ce que nous demandons et pensons,

nous nous confions ayant l’assurance que tu nous gardes dans ta main et que tu poses ton regard sur l’œuvre de nos mains. Reçois dans le secret de notre cœur nos demandes, soucis, joies personnels…


Et au nom de Jésus, le Christ, notre Seigneur et à son exemple, nous nous adressons à Toi en te disant tous ensemble : Notre Père




CHANT FINAL : La paix du Seigneur All 62-73

La paix du Seigneur, la paix du Seigneur,

La paix du Ressuscité

La paix du Seigneur, à toi, à moi

Et à tous sera donnée.

La paix du Seigneur, à toi, à moi

Et à tous sera donnée.


BENEDICTION ET ENVOI

"Tant que la terre subsistera,

les semailles et la moisson,

le froid et la chaleur,

l'été et l'hiver,

le jour et la nuit

ne cesseront pas."


Le Seigneur fait de nous des êtres libres et responsables

Il nous bénit et nous garde

Amen


Postlude

LECTURE DE LA PAROLE


1) Genèse 8, 1-12 :

8 1 Puis Dieu pensa à Noé et à tous les animaux, sauvages et domestiques, qui se trouvaient avec lui dans l'arche. Il fit souffler un vent sur la terre, et le niveau de l'eau commença de baisser. 2 Les sources des eaux souterraines et les vannes du ciel se fermèrent. La pluie cessa de tomber. 3 Les eaux se retirèrent progressivement de la terre. Ainsi, cent cinquante jours après le début de l'inondation, le niveau de l'eau se mit à baisser. 4 Le dix-septième jour du septième mois, l'arche s'échoua dans le massif de l'Ararat. 5 Les eaux continuèrent à se retirer jusqu'au dixième mois. Le premier jour de ce mois, on vit apparaître le sommet des montagnes. 6 Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu'il avait ménagée dans l'arche. 7 Il laissa partir un corbeau. Celui-ci sortit et s'en revint bientôt : il fallait attendre que l'eau se résorbe sur la terre. 8 Puis Noé laissa partir une colombe, pour voir si le niveau de l'eau avait baissé. 9 Mais elle ne trouva aucun endroit où se percher, car l'eau couvrait encore toute la terre ; elle revint donc à l'arche, auprès de Noé. Celui-ci tendit la main, prit la colombe et la ramena dans l'arche. 10 Il attendit une semaine et la laissa de nouveau partir. 11 La colombe revint auprès de lui vers le soir ; elle tenait dans son bec une jeune feuille d'olivier. Alors Noé sut que le niveau de l'eau avait baissé sur la terre. 12 Il attendit encore une semaine et laissa partir la colombe, mais celle-ci ne revint pas.


Répons : Alléluia

2) Marc 4, versets 35-41

4 35 Le soir de ce même jour, Jésus dit à ses disciples : « Passons de l'autre côté du lac. » 36 Ils quittèrent donc la foule ; les disciples emmenèrent Jésus dans la barque où il se trouvait encore. D'autres barques étaient près de lui. 37 Et voilà qu'un vent violent se mit à souffler, les vagues se jetaient dans la barque, à tel point que, déjà, elle se remplissait d'eau. 38 Jésus, à l'arrière du bateau, dormait, la tête appuyée sur un coussin. Ses disciples le réveillèrent alors en criant : « Maître, nous allons mourir : cela ne te fait donc rien ? » 39 Jésus, réveillé, menaça le vent et dit à l'eau du lac : « Silence ! calme-toi ! » Alors le vent tomba et il y eut un grand calme. 40 Puis Jésus dit aux disciples : « Pourquoi avez-vous si peur ? N'avez-vous pas encore confiance ? » 41 Mais ils éprouvèrent une grande frayeur et ils se dirent les uns aux autres : « Qui est donc cet homme, pour que même le vent et les flots lui obéissent ? »

Répons : Louange à toi ô Christ
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